Sur quelle technologie ?

Oregen fait le choix de la technologie Polygon, layer 2 de Ethereum. Quelques explications.

La preuve de travail signifie que plusieurs ordinateurs du réseau de la même blockchain doivent résoudre des équations complexes et l’ordinateur qui y parvient le plus vite gagne le minage. Chaque minage rapporte une contrepartie, ce que l’on appelle les frais (gas fee) pour récompenser le mineur.

Donc le mineur est tenté d’avoir un parc d’ordinateurs de plus en plus grand et de plus en plus performant pour maximiser ses chances de remporter la transaction.

Ainsi énormément d’énergie est dépensée pour alimenter ce parc informatique.

L’autre méthode, la preuve d’enjeu, fonctionne selon le degré d’engagement de certaines personnes du réseau : plus la personne à des jetons de cette blockchain stockés et bloqués, plus il a de chance d’être sélectionné pour remporter la transaction. Ce n’est plus la puissance de calcul de son ordinateur qui fait foi, mais le nombre de jetons bloqués sur son portefeuille virtuel.

Pas besoin de plusieurs ordinateurs fonctionnant à plein régime pour cette méthode.

La preuve de travail est la méthode utilisée par BitCoin et pour le moment par Ethereum (qui souhaite passer en preuve d’enjeu rapidement, ce sera Ethereum 2.0)

En attendant le passage à Ethereum 2.0, Polygon (dont le jeton s’appelle MATIC) permet d’utiliser la première version d'Ethereum en lui ajoutant une couche qui fonctionne avec la preuve d’enjeu, divisant ainsi par 10 000 l’énergie demandée par une transaction en ethereum classique, et en divisant par 100 ou 1 000 les gas fee à chaque transaction.

Polygon est donc à la fois plus économe pour l’achat de NFT, et plus économe en consommation d’énergie. Le mint d'un des NFTs des collections Oregen équivaudra à l'impact environnemental de l'envoi d'un email.

En utilisant Polygon, Oregen choisi donc un des layers 2 les moins impactants pour l'environnement, tout en s'adossant à la blockchain Ethereum qui lui permettra d'accéder à un grande communauté de potentiels futurs donateurs, et à un second marché déjà performant.

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